Bien sûr, on y longe la mer infiniment bleue sur des
autoroutes aériennes ponctuées de tunnels, parmi les cyprès, pins parasols,
palmiers, lauriers exubérants. Mais la végétation méditerranéenne n’est pas que
décorative, elle affirme sa vocation agricole. Ainsi, dans les collines
au-dessus d’Imperia, on compte plus de 100 000 oliviers, qui produisent
une huile d’olive renommée, à partir des petites olives très parfumées de la variété taggiasca. Le superbe musée Carli permet de connaître le circuit de l’olive, et commercialise ses produits à
travers boutique et restaurant.
A l’embouchure des torrents piémontais, on trouve les jardins d’agrumes, citronniers, orangers, mandariniers (qui produisent entre autres le Chinotto, un composant du Campari), les vignes, les serres, abritant toutes sortes de fleurs et légumes, salades, tomates, aubergines. La Ligurie est une terre gastronomique, ses restaurants multiplient des produits frais et bio, parfaitement dans la mouvance du Slow Food.
Finalborgo, Albissola, Alberga, petites villes médiévales, ont gardé tout leur charme, à l’abri des remparts et y ajoutent les plaisirs de la plage. Les ports historiques de Savona et La Spezia ont été rénovés pour attirer le tourisme en plus de leur vocation marchande. Portofino est un bijou qui attire la jet-set, mais c’est surtout Gênes, la capitale, qui mérite le détour. Une ville dont la richesse remonte à sa puissance maritime et financière, du 13ème siècle au 16ème siècl
e. Dans les
étroites ruelles, une suite de merveilleux palais Renaissance, qui ont motivé
l’inscription de la ville au Patrimoine de l’Unesco. Le port est l’un des plus
grands et des plus actifs de Méditerranée, ce qui est logique pour la ville
natale de Christophe Colomb. C’est d’ailleurs à l’occasion du 500ème
anniversaire de la découverte de l’Amérique qu’un autre enfant du pays,
l’architecte Renzo Piano, a totalement rénové le Porto Antico pour en faire un lieu convivial et festif où il fait
bon flâner. Reprenant les éléments emblématiques de la vie portuaire :
grues, voiles, haubans, il a créé une zone piétonne articulée entre les anciens
entrepôts et ses constructions aériennes au bord de la mer. Promenade,
restaurants, boutiques, un immense aquarium, un Musée de la Mer. Et le Bigo, un ascenseur panoramique, permet
de s’élever à 40 m au-dessus du port pour bénéficier d’une vue superbe sur
Gênes et sa baie.
A l’embouchure des torrents piémontais, on trouve les jardins d’agrumes, citronniers, orangers, mandariniers (qui produisent entre autres le Chinotto, un composant du Campari), les vignes, les serres, abritant toutes sortes de fleurs et légumes, salades, tomates, aubergines. La Ligurie est une terre gastronomique, ses restaurants multiplient des produits frais et bio, parfaitement dans la mouvance du Slow Food.
Finalborgo, Albissola, Alberga, petites villes médiévales, ont gardé tout leur charme, à l’abri des remparts et y ajoutent les plaisirs de la plage. Les ports historiques de Savona et La Spezia ont été rénovés pour attirer le tourisme en plus de leur vocation marchande. Portofino est un bijou qui attire la jet-set, mais c’est surtout Gênes, la capitale, qui mérite le détour. Une ville dont la richesse remonte à sa puissance maritime et financière, du 13ème siècle au 16ème siècl
Article publié dans le JTT du jeudi 16 août.
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