Article publié dans le JTT.
vendredi 28 septembre 2018
Architecture au sommet : « Fiore di Pietra », la fleur de pierre de Mario Botta
Article publié dans le JTT.
jeudi 20 septembre 2018
La visite du Sénat
Depuis l’accession de M. Bouchet au rang de sénateur, de
nombreuses associations locales ont eu le privilège de visiter le Sénat. Lundi,
c’était le tour de la classe 68, une trentaine de Tainois et Tournonnais réunis
sous la houlette de Marlène. Une joyeuse ambiance régnait dans le TGV, après la
rencontre fortuite, dès la gare de Valence, du sénateur et de son épouse, qui
retrouvaient dans le groupe de nombreux camarades de jeunesse.
Savez-vous qu’à Paris la rue de Tournon est celle qui mène au Sénat ? Un clin d’œil que les visiteurs n’ont pas manqué de remarquer, lorsqu’ils ont passé la porte d’entrée du Palais du Luxembourg. M. Bouchet, après les contrôles de sécurité, a présenté son attachée parlementaire, Diane, en charge de la préparation de toutes ses activités. Une femme dynamique et efficace qui a entraîné le groupe à travers le Palais pour une première approche. L’hémicycle était vide, la rentrée parlementaire n’étant pas encore effectuée, chacun a pu le visiter, le photographier, s’y assoir. L’occasion pour M. Bouchet de présenter le fonctionnement du Sénat. Les débats, les interventions, les amendements. La façon de voter, qui peut se faire à main levée, alors qu’avec l’équipement numérique sophistiqué, tout est enregistré, même le moindre aparté passe au J.O. !
Un moment plus convivial a suivi, avec l’apéritif offert au bar du Sénat, avant de gagner le superbe salon Napoléon où le
repas avait été réservé. Nappes blanches, couverts en argent, personnel stylé,
le décor était raffiné jusque dans l’assiette. M. Bouchet a évoqué son
travail : commissions, consultations, rapports, promotion de sa région à travers les vins, les truffes, partenariats avec les entreprises,
projets d’installation dans la Drôme pour certaines. Tout cela en trois jours
de présence par semaine, avec des horaires variables et souvent nocturnes.
La bibliothèque historique est un lieu paisible, ouvert sur le jardin du Luxembourg, on y trouve le meuble d’origine qui a contenu la Description de l’Egypte commandée par Napoléon. Mais le petit extra, ce fut la visite de l’annexe, où est tourné le programme TV Bibliothèque Médicis. Autre lieu secret : l’ancienne chapelle, où se réunit la commission Défense à laquelle participe M. Bouchet. Encore quelques couloirs, sous-sols, escaliers, salons à parcourir, pour terminer la visite. Chaleureux remerciements au sénateur qui a chouchouté le groupe toute la journée.
Le temps estival se prêtait à un détour par les jardins ensoleillés du Luxembourg, avant
d’affronter la foule du métro, puis de la gare de Lyon. Et de retrouver ensuite la Vallée du
Rhône, la tête pleine des ors de la République. Avec en mémoire les paroles
de M. Bouchet : "Le Sénat est la maison de tous les citoyens, donc c’est
aussi votre maison !"
Savez-vous qu’à Paris la rue de Tournon est celle qui mène au Sénat ? Un clin d’œil que les visiteurs n’ont pas manqué de remarquer, lorsqu’ils ont passé la porte d’entrée du Palais du Luxembourg. M. Bouchet, après les contrôles de sécurité, a présenté son attachée parlementaire, Diane, en charge de la préparation de toutes ses activités. Une femme dynamique et efficace qui a entraîné le groupe à travers le Palais pour une première approche. L’hémicycle était vide, la rentrée parlementaire n’étant pas encore effectuée, chacun a pu le visiter, le photographier, s’y assoir. L’occasion pour M. Bouchet de présenter le fonctionnement du Sénat. Les débats, les interventions, les amendements. La façon de voter, qui peut se faire à main levée, alors qu’avec l’équipement numérique sophistiqué, tout est enregistré, même le moindre aparté passe au J.O. !
A 14h30, la visite guidée du Palais a suivi. Sa construction
a débuté en 1615 sous Marie de Médicis, veuve de Henri IV. Elle voulait recréer
l’ambiance de sa ville natale, Florence. Les enfilades prestigieuses ont gardé
leur décor somptueux, malgré de nombreuses transformations : Prison sous
la Terreur, Sénat sous le Directoire, Chambre des Pairs sous la Restauration,
occupée par la Luftwaffe pendant la deuxième guerre. Dorures, marbres, miroirs,
tapisseries, lustres, meubles d’époque… décorent les salles d’apparat, comme
celle des Conférences, du Livre d’or. Sur l’escalier monumental, la pose (photo) s’impose.
Au fil de la visite, la guide a évoqué son métier à
multiples facettes : il y a 1200 employés au Sénat, pour 348
sénateurs : huissiers, guides, préposés au ménage, à l’entretien, au
secrétariat, à la restauration, chauffeurs, coiffeur… il y a même une salle de
gym pour le personnel.La bibliothèque historique est un lieu paisible, ouvert sur le jardin du Luxembourg, on y trouve le meuble d’origine qui a contenu la Description de l’Egypte commandée par Napoléon. Mais le petit extra, ce fut la visite de l’annexe, où est tourné le programme TV Bibliothèque Médicis. Autre lieu secret : l’ancienne chapelle, où se réunit la commission Défense à laquelle participe M. Bouchet. Encore quelques couloirs, sous-sols, escaliers, salons à parcourir, pour terminer la visite. Chaleureux remerciements au sénateur qui a chouchouté le groupe toute la journée.
Article publié dans le JTT du jeudi 20 septembre.
mardi 11 septembre 2018
Chronique littéraire : Chanson douce, de Leïla Slimani

Myriam a enfin trouvé la nounou idéale, celle qui lui permet de
reprendre son travail d’avocate, l’esprit tranquille, car ses enfants sont en
de bonnes mains. Louise est parfaite, non seulement elle sait merveilleusement
s’occuper de Mila et Adam, mais c’est une fée du logis : ménage, lessive,
petits plats, elle assume tout. Myriam et Paul peuvent s’investir dans leurs
professions, et profiter d’enfants propres et nourris le soir.
Hélas derrière tout cela, une fêlure apparait peu à peu. Louise n’est pas aussi lisse qu’il y paraît, elle cache des tendances caractérielles, d’anciennes blessures. Myriam et Paul, pris au piège de la dépendance, s’en aperçoivent trop tard, quand le drame est inévitable.
Leïla Slimani analyse avec lucidité et finesse les rapports
mère-enfant, employeur-employé. La difficile conjonction maternité et vie
sociale, le décalage homme-femme, la négligence et le stress qui favorisent les
impairs, la folie ordinaire. On connaît dès le début le tragique dénouement,
mais l’analyse du caractère de Louise, les éclairages sur son passé soutiennent
l’intrigue. On aimerait même en savoir davantage sur son état mental au moment
du passage à l’acte. Les ressorts de l’âme humaine restent un grand mystère.
Née à Rabat en 1981, Leïla Slimani est une écrivaine et
journaliste franco-marocaine. Elle vit à Paris et a obtenu le Prix Goncourt
2016 avec ce roman au scalpel (sans jeu de mots).
Actuellement en poche dans la collection Folio.
Chronique publiée dans le JTT.
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mardi 4 septembre 2018
Festival des Humoristes de Tournon : beau succès auprès des enfants
Jeudi dernier, dans le cadre du Festival des Humoristes, deux spectacles gratuits ont permis aux enfants de passer un joyeux après-midi. Avec Gromic à la Cour du Lycée, dans un registre poétique, puis avec un Boulon gentiment décalé à la place du Grillet, parents et enfants ont profité de divertissements interactifs. Un festival off qui élargit encore le public habituel du Festival des Humoristes, et une bonne manière d’égayer les derniers jours de vacances.

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