Eh oui, un an déjà que j’ai ouvert ce blog, résultat d’un stage informatique où je me suis sentie pourtant complètement larguée. Abandonné six mois, ensuite, pour cause de difficultés techniques, et surtout déboussolée par
la question cruciale : comment l’alimenter ?
Ranimé, quand l’opportunité de tenir une chronique
littéraire dans le JTT m’a été proposée : mes critiques, une fois publiées
sur le papier, et oubliées, qu’en faire ? Les partager avec d’autres
lecteurs sur Internet, bien sûr. Peu à peu, j’y ai joint mes commentaires de
randonnées, mes coups de cœur, mes coups de gueule… Maintenant, je ne me pose
même plus la question, quand j’ai besoin de m’exprimer sur un sujet, c’est ici
que je le fais. Car j’ai la fibre partageuse, le besoin de transmettre, un reste
de pédagogie, peut-être ? Loin de la culture du secret, j’ai celle de la
communication.
Restait un dernier problème à résoudre : les
commentaires, que mes lecteurs proches avouaient ne pas arriver à poster. Enfin,
c’est résolu : il faut s’affubler du qualificatif : Anonyme pour me répondre ! Guère plaisant, quand on accepte de
s’exposer, mais c’est le défaut de ce logiciel.
Voilà pourquoi je n’ai que 3 commentaires pour 36 messages.
Alors que les statistiques internes du site comptabilisent environ 1200
visites. Sans être sur Facebook (pour ne pas fliquer mes enfants), ni sur
Twitter (Valérie T. n’a pas à s’inquiéter), j’avoue que ça m’épate.
Un mystère persiste : la localisation géographique de
mes lecteurs anonymes. La France, normal, la Suisse et l’Italie, soit, mais des
lecteurs de l’Alaska et l’Estonie, diable, diable…
Y aurait-il des espions dans la blogosphère ?
Bon anniversaire, nos voeux les plus sincères pour la poursuite de ce périple dans la blogosphère !
RépondreSupprimerLa fibre partageuse a le mérite de se propager très vite et très loin, pour le plus grand bien de la littérature, alors longue vie à ce blog et à Nicole que nous suivons pas à pas avec délice sur les chemins de traverse.