Place aux Champignons, gîte Les Russules, Maison du Champignon, restaurant La Coulemelle, salon de thé La Chanterelle ... dès l'arrivée dans ce village aux confins de l'Ardèche et de la Haute-Loire, toutes les pancartes signalent qu'ici le champignon est roi. Des ribambelles de champignons décorent les rues, les numéros des maisons sont en forme de champignon. Impossible d'ignorer ce trésor de l'automne dont forêts et pâturages voisins regorgent.
Chocolat aux cèpes, girolles en aigre-doux, tagliatelles aux morilles, huile de truffe, les produits dérivés proposés dans les épiceries locales excitent les papilles. Surtout quand ils s'accompagnent d'autres gourmandises du terroir, salaisons du Velay, fromages du Vivarais, marrons d'Ardèche et vins de la Vallée du Rhône.
C'est que Saint-Bonnet-le-Froid est devenu, depuis l'installation de Régis Marcon, grand maître de la cuisine française, un haut-lieu de la gastronomie. Le Clos des Cimes est un établissement luxueux, mais d'autres restaurateurs inventifs ont investi le village, proposant des repas raffinés, aux saveurs de saison, ou des chambres d'hôte, à des prix abordables.
Chocolat aux cèpes, girolles en aigre-doux, tagliatelles aux morilles, huile de truffe, les produits dérivés proposés dans les épiceries locales excitent les papilles. Surtout quand ils s'accompagnent d'autres gourmandises du terroir, salaisons du Velay, fromages du Vivarais, marrons d'Ardèche et vins de la Vallée du Rhône.
C'est que Saint-Bonnet-le-Froid est devenu, depuis l'installation de Régis Marcon, grand maître de la cuisine française, un haut-lieu de la gastronomie. Le Clos des Cimes est un établissement luxueux, mais d'autres restaurateurs inventifs ont investi le village, proposant des repas raffinés, aux saveurs de saison, ou des chambres d'hôte, à des prix abordables.
On peut préférer tout simplement la promenade et le pique-nique, car les couleurs d'automne de la forêt, et le panorama depuis le plateau, à 1130 m d'altitude, face aux Alpes enneigées, valent à eux seuls le voyage.
Entendu monsieur Régis Marcon interviewé sur France Culture. Mais entre entendre et déguster, il y a le pas d'une gourmandise qui se dit. Jo
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